En 2024, les droits des femmes sont loin d'être effectifs et sont de plus en plus menacés. Les nouvelles révélations de violences sexuelles et la défense des agresseurs par une partie du monde médiatique et politique montrent la nécessité de croire et de se mobiliser auprès des victimes encore et toujours. De même, le refus de la France d'inscrire le consentement dans la définition européenne du viol et les annonces du président qui souhaite "un réarmement démographique", passant par un contrôle des corps et des utérus à des fins natalistes, montrent que les droits des femmes et des minorités de genre sont perpétuellement remis en question. Il reste encore beaucoup à gagner face au patriarcat.
Les luttes féministes ont permis de conquérir des droits. C’est pourquoi la journée du 8 mars ne se « fête » pas et n’est pas la «journée de la femme» mais bien celle de lutte pour les droits des femmes !